7 mars 2010
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15:50
De nombreuses petites rivières sont présentes dans la régio
n et une des techniques les plus prenantes pour aborder les courants, les nénuphars et autres herbiers est sans nul doute la pêche itinérante au vif. Toutes techniques de pêche, si elle est pratiquée dans le respect de la nature et du poisson, a sa place au bord de l'eau. L'objet de ces lignes n'est pas de rentrer dans une polémique pêche aux leurres contre pêche au vif mais de partager une technique passionnante pour les pêcheurs de carnassiers.
n et une des techniques les plus prenantes pour aborder les courants, les nénuphars et autres herbiers est sans nul doute la pêche itinérante au vif. Toutes techniques de pêche, si elle est pratiquée dans le respect de la nature et du poisson, a sa place au bord de l'eau. L'objet de ces lignes n'est pas de rentrer dans une polémique pêche aux leurres contre pêche au vif mais de partager une technique passionnante pour les pêcheurs de carnassiers. Matériel utilisé
Nous allons immédiatement oublier le matériel du véritable vifeur : 4 cannes de 3,50 m montées de lignes en plombée ou munies de bouchons de 15 g et d'un bas de ligne acier semblable à une corde de guitare. Un matériel léger est indispensable : une canne (leurres ou manié) de 2,40 à 2,70 m conviendra parfaitement ainsi qu'un petit mou![Photo [800x600]](http://img.over-blog.com/300x225/3/67/68/24/Photo--800x600-.jpg)
linet garni de nylon (25 cts). Une sacoche ou un sac à dos léger accompagnera le pêcheur qui disposera de bouchons, de bas de ligne, d'une pince, d'olives, d'emerillons ainsi qu'une épuisette ou une pince à poissons. sans oublier le seau à vifs. La ligne doit être légère, un bouchon de 6 à 8 g coulissant et un bas de ligne muni d'un hameçon simple ou montage stewart selon la taille des vifs utilisés.
Les vifs
Avant la session de pêche, il faut prévoir une partie de pêche aux petits afin de remplir le seau de 5 à 10 vifs maximum. La taille de doit pas excéder 8 à 10 cm afin d'éviter que le poisson n'embarque la ligne dans les obstacles. Le choix des vifs n'est pas négligeable, un chevesne, gardon, ablette, goujon ou vairon n'évoluera pas de la même façon dans la rivière n'aura pas la même résistance. C'est toujours un moment très agréable que de se rendre les pieds dans l'eau aux abords de la riviè
re qui se fraye un chemin parmi les rochers et les herbiers. Petite canne de 2,50 m en main, il n'y a plus qu'à laisser couler sa ligne dans le courant.
L'action de pêche
La canne est montée et attend, dans son fourreau, l'aube qui ne saurait tarder. A l'arrivée au bord de l'eau, la nature commence à s'éveiller, des ragondins longent les berges, des chants d'oiseaux viennent animer le calme de la brume sur la rivière. Quelques remous à la surface témoignent de l'activité des poissons. Le bouchon de la ligne descend doucement le courant le long des nénuphars et s'agite de temps à autre par les accoups du vif. Soudain, il s'enfonce rapidemment sous la pélicule ! Est-ce un mouvement plus accentué du vif ? Le corps de ligne emmerge de l'eau preuve du départ tant attendu. Il est très important de ferrer dans les 10 secondes qui suivent afin de pouvoir relâcher le poisson dans les meilleures conditions possibles. Dans les petites rivières, les postes à privilégier sont tous les endroits où le fond est plus important, les nénuphars, les chutes d'eau et les obstacles immergés (arbres ou rochers). La pêche est itinérante, il faut rester 10 à 15 minutes par poste mais ne pas hésiter à insister si le pêcheur sent la présence du poisson.
linet garni de nylon (25 cts). Une sacoche ou un sac à dos léger accompagnera le pêcheur qui disposera de bouchons, de bas de ligne, d'une pince, d'olives, d'emerillons ainsi qu'une épuisette ou une pince à poissons. sans oublier le seau à vifs. La ligne doit être légère, un bouchon de 6 à 8 g coulissant et un bas de ligne muni d'un hameçon simple ou montage stewart selon la taille des vifs utilisés.Les vifs
Avant la session de pêche, il faut prévoir une partie de pêche aux petits afin de remplir le seau de 5 à 10 vifs maximum. La taille de doit pas excéder 8 à 10 cm afin d'éviter que le poisson n'embarque la ligne dans les obstacles. Le choix des vifs n'est pas négligeable, un chevesne, gardon, ablette, goujon ou vairon n'évoluera pas de la même façon dans la rivière n'aura pas la même résistance. C'est toujours un moment très agréable que de se rendre les pieds dans l'eau aux abords de la riviè
re qui se fraye un chemin parmi les rochers et les herbiers. Petite canne de 2,50 m en main, il n'y a plus qu'à laisser couler sa ligne dans le courant.L'action de pêche
La canne est montée et attend, dans son fourreau, l'aube qui ne saurait tarder. A l'arrivée au bord de l'eau, la nature commence à s'éveiller, des ragondins longent les berges, des chants d'oiseaux viennent animer le calme de la brume sur la rivière. Quelques remous à la surface témoignent de l'activité des poissons. Le bouchon de la ligne descend doucement le courant le long des nénuphars et s'agite de temps à autre par les accoups du vif. Soudain, il s'enfonce rapidemment sous la pélicule ! Est-ce un mouvement plus accentué du vif ? Le corps de ligne emmerge de l'eau preuve du départ tant attendu. Il est très important de ferrer dans les 10 secondes qui suivent afin de pouvoir relâcher le poisson dans les meilleures conditions possibles. Dans les petites rivières, les postes à privilégier sont tous les endroits où le fond est plus important, les nénuphars, les chutes d'eau et les obstacles immergés (arbres ou rochers). La pêche est itinérante, il faut rester 10 à 15 minutes par poste mais ne pas hésiter à insister si le pêcheur sent la présence du poisson.
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